Au premier concert de Sons d'Hiver, vendredi dernier, la part la plus puissante, la plus touchante ne revint pas aux deux ensembles de grande qualité se présentant ce soir-là (Uz Quintet et Stone Quartet), mais à Fabien Barontini qui, avant même de présenter cette bonne soirée, offrit un salut fort aux Tunisiens et à leurs capacités qui devraient être les nôtres.
Des paroles très inspirantes, pleines d'amour, de désir et de non-résignation. On aurait pu ne venir au Kremlin-Bicêtre que pour entendre ces quelques mots, on en serait reparti avec une bonne respiration.
La musique de ces mots-là était une musique forte, non domestiquée, comme on l'aime, comme elle est nécessaire. Une musique qui donne quelque chose à jouer.
Merci Fabien
"L'oppression d'un peuple ou même d'un simple individu est l'oppression de tous"
Mikhaïl Bakounine
Des paroles très inspirantes, pleines d'amour, de désir et de non-résignation. On aurait pu ne venir au Kremlin-Bicêtre que pour entendre ces quelques mots, on en serait reparti avec une bonne respiration.
La musique de ces mots-là était une musique forte, non domestiquée, comme on l'aime, comme elle est nécessaire. Une musique qui donne quelque chose à jouer.
Merci Fabien
"L'oppression d'un peuple ou même d'un simple individu est l'oppression de tous"
Mikhaïl Bakounine
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