Vendredi 16 septembre, matin, ligne 4 du métro parisien, un homme à la grande barbe blanche vêtu d'un costume rouge avec de petites étoiles blanches pénètre dans le wagon et hurle : "Que le créateur du téléphone portable soit crucifié !" avant de partir d'un grand rire. Il crie si fort que les gens relèvent la tête, l'espace d'une petite seconde, avant de se replonger dans les écrans de leurs petits appareils où s'agitent mains assemblages de réductions alphabétiques, émoticoncons et foule d'autres images (à ce moment-là - coïncidence ? -, une jeune fille fait un selfie). La résurrection en un clic ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire